Êtes-vous en danger d’épuisement? - ROMAN
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Êtes-vous en danger d’épuisement?

Voici une liste d’énoncés qui reflètent comment les gens se sentent parfois lorsqu’ils prennent soin d’autres personnes.
Pour chaque énoncé, indiquez à QUELLE FRÉQUENCE il vous arrive de vous sentir ainsi : JAMAIS, RAREMENT, QUELQUES FOIS, ASSEZ SOUVENT ou PRESQUE TOUJOURS.
Il n’y a ni bonne ni mauvaise réponse.

* Dans ce questionnaire, le mot « aidé » fait référence à la personne dont je prends soin.

 

Consultez également le Guide de prévention de l’épuisement des proches aidants disponible sur notre site.

Je sens que l’aidé dont je prends soin demande plus d’aide qu’il en a besoin.
Je sens qu’à cause du temps consacré à l’aidé, je n’ai plus de temps pour moi.
Je me sens tiraillé entre les soins à l’aidé et mes autres responsabilités familiales ou professionnelles.
Je me sens embarrassée par les comportements de l’aidé.
Je me sens en colère lorsque je suis en présence de l’aidé.
Je sens que l’aidé nuit à mes relations avec les autres membres de la famille ou les amis.
J’ai peur de ce que l’avenir réserve à l’aidé.
Je sens que l’aidé est dépendant de moi.
Je me sens tendu lorsque je suis avec l’aidé.
Je sens que ma santé s’est détériorée à cause de mon implication auprès de l’aidé.
Je sens que ma vie sociale s’est détériorée du fait que je prends soin de l’aidé.
Je me sens mal à l’aise de recevoir des amis ou de la famille à cause de l’aidé.
Je sens que l’aidé semble s’attendre à ce que je prenne soin de lui comme si j’étais la seule personne sur qui il peut compter.
Je sens que je n’ai pas assez d’argent pour prendre soin de l’aidé compte tenu de mes autres dépenses.
Je sens que je ne serai plus capable de prendre soin de l’aidé encore bien longtemps.
Je sens que j’ai perdu le contrôle de ma vie depuis la maladie de l’aidé.
Je souhaite pouvoir laisse le soin de l’aidé à quelqu’un d’autre.
Je sens que je ne saurai pas trop quoi faire pour l’aidé.
Je sens que je devrai en faire plus pour l’aidé.
Je sens que je pourrais donner de meilleurs soins à l’aidé.
En fin de compte, je sens que les soins de l’aidé sont un fardeau, une charge.

Source: Steven H. Zarit, Ph.D., Professor of Human Development, University of Chicago Traduction : Traduction de Burden, interview de Zarit par le Centre de recherché en gériatrie, Hôpital d’Youville de Sherbrooke, 1036, rue Belvédère sud, Sherbrooke (Québec), J1H 4C4